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"Cancer de l'utérus : de l'hérédité à l'héritage transgénérationnel"


Que peut apporter l’analyse transgénérationnelle aux femmes ayant été touchées par le cancer de l’appareil génital dans leur quête de sens ?     "Le cancer de l’appareil génital ou le cancer gynécologique touche aujourd’hui en France plus de 13 500 femmes par an, dont 3 000 nouveaux cas par an pour le cancer du col de l’utérus, 6 300 pour celui de l’utérus et 4 400 pour le cancer de l’ovaire. Il y a 10 ans, 2 780 femmes étaient touchées par le cancer du col de l’utérus, 6 300 par le cancer de l’utérus et 4 440 par celui de l’ovaire, soit un nombre stable de femmes touchées par an avec un taux de natalité de 1,9 en France. Ces résultats suscitent une polémique transdisciplinaire sur la prévention et les traitements médicaux de ces femmes. Pourquoi le nombre de femmes touchées par le cancer du col de l’utérus ne diminue-t-il pas plus nettement alors que la prévention par le dépistage du papillomavirus permettrait aujourd’hui d’éradiquer ce cancer ? L’observation clinique montre que ces femmes ne procèdent effectivement pas à un dépistage régulier, pour des raisons aussi variées et vastes que les causes probables du cancer. Si les femmes victimes d’un cancer s’interrogent fréquemment a posteriori sur la raison de leur maladie, rares sont les femmes qui s’interrogent a priori sur leurs chances de contracter un cancer du col de l’utérus. Cette observation fonde ma réflexion sur l’intérêt d’une recherche centrée exclusivement sur le préventif si par ailleurs le besoin de sens à postériori n’est pas entendu..."

Que peut apporter l’analyse transgénérationnelle aux femmes ayant été touchées par le cancer de l’appareil génital dans leur quête de sens ?

Cet article propose une analyse transgénérationnelle du cancer de l'utérus et ouvre les portes d'une approche transdisciplinaire de l'accompagnement des femmes touchées par cette maladie dans l'après-soin.

"Le cancer de l’appareil génital ou le cancer gynécologique touche aujourd’hui en France plus de 13 500 femmes par an, dont 3 000 nouveaux cas par an pour le cancer du col de l’utérus, 6 300 pour celui de l’utérus et 4 400 pour le cancer de l’ovaire. Il y a 10 ans, 2 780 femmes étaient touchées par le cancer du col de l’utérus, 6 300 par le cancer de l’utérus et 4 440 par celui de l’ovaire, soit un nombre stable de femmes touchées par an avec un taux de natalité de 1,9 en France. Ces résultats suscitent une polémique transdisciplinaire sur la prévention et les traitements médicaux de ces femmes. Pourquoi le nombre de femmes touchées par le cancer du col de l’utérus ne diminue-t-il pas plus nettement alors que la prévention par le dépistage du papillomavirus permettrait aujourd’hui d’éradiquer ce cancer ? L’observation clinique montre que ces femmes ne procèdent effectivement pas à un dépistage régulier, pour des raisons aussi variées et vastes que les causes probables du cancer. Si les femmes victimes d’un cancer s’interrogent fréquemment a posteriori sur la raison de leur maladie, rares sont les femmes qui s’interrogent a priori sur leurs chances de contracter un cancer du col de l’utérus. Cette observation fonde ma réflexion sur l’intérêt d’une recherche centrée exclusivement sur le préventif si par ailleurs le besoin de sens à postériori n’est pas entendu..."

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